Chers amis,
Au nom du bon sens, je veux vous exprimer mon ras-le-bol face aux aberrations des Verts d’extrême-gauche, qui saturent les ondes médiatiques.
Nous avons subi la suppression de « l’arbre mort de Noël » du centre-ville de Bordeaux, au nom d’une « charte des droits des arbres ». Mais « l’arbre mort de Noël » cachait la forêt des idéologues gauchistes.
Nous avons également subi l’interdiction de la patrouille de France à Lyon pour les célébrations du 14 juillet, la stigmatisation de nos traditions de chasse, le mépris des agriculteurs qui nous nourrissent et entretiennent nos paysages.
Nous avons eu le tour de France des aberrations des Verts, désormais les Verts d’extrême-gauche s’attaquent au tour de France.
Ce grand évènement sportif et populaire serait « machiste et polluant » selon le Maire de Lyon, ou coupable de véhiculer une « image sexiste de la femme » selon la Maire de Rennes, qui a cependant autorisé le burkini dans les piscines publiques de sa commune.
Plus récemment, un autre élu Vert, Jacques Boutault, n’a pu s’empêcher de dénigrer la plus célèbre compétition cycliste, avec un mépris de classe détestable : « Il y a 35% de chômeurs, on ne va pas leur donner du boulot mais leur faire regarder le Tour de France et leur filer des goodies ».
Les Verts d’extrême-gauche ne combattent pas le réchauffement climatique, ils combattent l’identité française ; ils ne défendent pas le peuple, mais la déconstruction de notre société.
Je vous invite donc à apporter votre soutien pour défendre la révolution du bon sens et la France silencieuse !
Qu’ils sachent qu’ils nous trouveront à chaque instant sur leur chemin : notre art de vivre, notre patrimoine, notre culture, nos traditions populaires ne sont pas négociables ! Nous ne les laisserons pas polluer le débat public au nom d’une idéologie sectaire et rétrograde !
L’écologie mérite mieux que les Verts d’extrême-gauche : elle a besoin de circuits courts, de local, de la ruralité et du supplément d’âme de nos provinces ; comme les arbres, elle ne peut grandir privée de racines.
C’est pourquoi je défends une écologie enracinée, populaire, responsable et sérieuse, qui récompense les comportements vertueux et incite chacun à donner le meilleur de lui-même.
Oui quand la pensée unique est hors-sol, l’enracinement est révolutionnaire !
Bien fidèlement
GP
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