La convention nationale « travail, entreprises, pouvoir d’achat » des Républicains

J’ai eu l’honneur d’animer, avec Christian Jacob et nos élus, notre convention nationale sur le travail autour de Laurent Berger, le patron de la CFDT, de François Asselin, de la CPME et de François Lenglet, l’éditorialiste économique préféré des Français.

Ce fut passionnant et au-delà du constat, nous avons présenté nos propositions pour les Français !
Il y a urgence à mieux récompenser nos travailleurs et nos entrepreneurs. La France souffre d’une double peine : trop socialiste à l’intérieur car nos entrepreneurs vivent un enfer bureaucratique de taxes, de normes et de paperasse ; trop libérale à l’extérieur car nos travailleurs subissent les vents de la mondialisation financière, des délocalisations et des salaires qui sont trop bas.
Après douze mois de travaux, d’auditions et de rencontres avec nos parlementaires, des élus locaux, des experts, des économistes, nous avons donc présenté les premières propositions concrètes de notre « révolution du bon sens ».

La révolution du bon sens, c’est plus de liberté pour nos entrepreneurs :
?un code du travail de 100 pages pour rappeler les principes fondamentaux mais redonner de la souplesse aux entreprises à partir du rapport Badinter ;
?un référendum interne à l’entreprise pour fixer au plus près du terrain le temps de travail entre 35h et 40h afin de d’adapter au carnet de commandes et au développement de l’entreprise dans le dialogue constructif ;
?la baisse de la TVA pour 1 million de salariés et d’artisans de l’hôtellerie-restauration et des secteurs sinistrés par la crise ;
?la transformation des PGE en fonds propres à hauteur de 25% pour nos entreprises en difficulté.


La révolution du bon sens, c’est plus de protection pour nos travailleurs :
? l’augmentation de 5% des salaires nets en divisant par deux la CSG : 200€ nets de plus par mois pour un couple de classes moyennes ;
?la prise en charge des six premiers mois de salaires pour un premier emploi d’un jeune embauché en CDI ;
?un fonds souverain pour financer la recherche et la relocalisation de PME française mais aussi la suppression de la fiscalité en cas de transmission familiale d’une entreprise ;
?l’obligation de rembourser les aides publiques en cas de délocalisations ;
?10h d’obligation d’activité au sein d’une association ou d’une collectivité pour les bénéficiaires du RSA, sauf les accidentés de la vie ;
?l’accession sociale à la propriété en obligeant les bailleurs à vendre 5% par an leurs logements sociaux : le loyer devient le remboursement d’emprunt pour permettre à 1 million de Français de devenir propriétaires. 

Voici le fruit de nos travaux que j’avais entamé dans mon livre « Milieu de cordée ». Proposer. Proposer encore. Proposer toujours.

Ces mesures-chocs, nouvelles et crédibles, sont financées par un plan complet de près de 40 milliards d’économies. Comment ?
?Par la lutte contre les fraudes sociales et fiscales (15 milliards d’économie en créant la carte vitale biométrique, en supprimant pendant cinq ans toute aide sociale pour un fraudeur récidiviste,…) ;
?par le refus des gaspillages bureaucratiques (5 milliards d’économies : parc immobilier et automobile d’Etat, agences superflues, strates administratives…) ;
?par le contrôle de l’immigration en conditionnant l’accès aux aides sociales à trois années de résidence et de travail en France (6 milliards d’économies)
?par une autre politique du logement social fondée sur l’accession à la propriété (9 milliards d’économies)
?par la limitation des bénéfices excessifs des compagnies d’assurance et des sociétés d’autoroutes (2 milliards d’économies)…

Oui, une autre politique est possible. Oui, portons, ensemble, la révolution du bon sens pour la majorité silencieuse !

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