Ce matin, j’etais invité par les entrepreneurs de Loir-et-Cher pour une réunion de travail en présence de Paul Seignolle, Président du Medef Loir-et-Cher, Nicolas Perruchot, Président du département, mes collègues parlementaires, Stéphane Baudu, Pascal Brindeau et Jean-Paul Prince et les présidents de toutes les branches professionnelles afin d’échanger sur les difficultés rencontrées et les actions à mettre en place pour aider les secteurs comme celui de l’automobile, de l’hôtellerie et restauration, des ambulances, du bâtiment et bien d’autres.
La relance de nos territoires et la sortie de la crise ne se feront que par le travail. Il n’y aura pas de redressement durable sans remettre la France au travail, sans encourager le travail, et sans récompenser le travail. Nous devons remettre à l’honneur les travailleurs face à la rente et à l’assistanat. La France du travail n’a jamais autant méritée d’être valorisée et récompensée. A plus forte raison depuis la crise sanitaire.
Il faut une révolution fondée sur la liberté du travail et la fermeté vis-à-vis des profiteurs du bas qui vivent de l’assistanat et des profiteurs du haut qui privilégie la rente.
Lors de mes interventions, j’ai pu présenter plusieurs de mes propositions comme faire bénéficier aux travailleurs des performances économiques de leur entreprise via la participation et l’intéressement, donner la priorité aux petites et moyennes entreprises françaises dans l’accès aux marchés publics, créer une TVA à 0% pour toute vente directe entre particuliers et producteurs agricoles, ou encore obliger les allocataires du RSA et du chômage (hors accidentés de la vie) à 10h de travail hebdomadaire dans une association ou une collectivité…
Je continuerai d’être force de propositions et serai toujours aux côtés de ceux qui font des efforts, prennent des risques, innovent et créent de l’emploi.