Jeudi 25 mars dernier, permanence parlementaire avec quelques entrepreneurs et agriculteurs de ma circonscription pour leur venir en aide, suivie d’une rencontre avec Guillaume Giot, maire de Neung-sur-Beuvron et tout son conseil municipal.
Retour aux sources.
Maire de la République puis député du peuple.
Une vraie joie, une belle émotion que de conclure cette journée avec l’équipe municipale de Neung-sur-Beuvron et Guillaume Giot.
Sept années à servir la Sologne et le Loir-et-Cher comme maire puis comme député : l’honneur d’être élu souverainement pour promouvoir, aimer et défendre nos patries charnelles, nos provinces et nos valeurs enracinées.
La chance aussi de rencontrer, chaque jour, comme aujourd’hui encore, nos vaillants maires et élus de nos communes rurales, nos agriculteurs audacieux, nos entrepreneurs valeureux, nos viticulteurs courageux, toute cette France du travail, du mérite et de l’effort qui ne baisse pas les bras, malgré l’insupportable bureaucratie qui s’abat sur nous depuis Paris.Debout, nous, les ruraux, les artisans, les paysans, les travailleurs, les anciens, notre jeunesse, nous tous les oubliés de la France silencieuse.
Levons-nous, ne baissons plus la tête, reprenons le pouvoir pour réparer la France, notre identité, nos souverainetés, nos libertés.
C’est d’ici, chez nous, d’en-bas que nous pourrons recouvrer la prospérité et la grandeur.
Il faut réenchanter le rêve français.
Avec Victor Hugo :
« Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ;
ce sont Ceux dont un dessein ferme emplit l’âme et le front.
Ceux qui d’un haut destin gravissent l’âpre cime.
Ceux qui marchent pensifs, épris d’un but sublime.
Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour,
Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour.
C’est le prophète saint prosterné devant l’arche,
C’est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarche.
Ceux dont le coeur est bon, ceux dont les jours sont pleins.
Ceux-là vivent, Seigneur ! les autres, je les plains.
Car de son vague ennui le néant les enivre,
Car le plus lourd fardeau, c’est d’exister sans vivre ».
GP