Le Loir-et-Cher toujours.
La nature à l’état pur, le savoir-faire des travailleurs et des entrepreneurs.
A Lamotte-Beuvron, la délicieuse découverte fleurie et élégante de Fleurs d’Antan avec la nouvelle boutique de Marie-Cécile, enveloppée de passion, de saveurs de son enfance réunionnaise et de son amour de notre Sologne lumineuse. Son atelier de fleurs séchés ? Un vrai coup de cœur chic, rural et bohème !
A la Ferté-Beauharnais avec Bruno Palais, le fondateur en 1977 des incontournables « Jardins de Sologne », le paradis des amoureux du jardin, de l’horticulture et des animaux. Des milliers d’arbres, de plantes, de potées, de bulbes, de fleurs… L’art de cultiver son jardin, dans tous les sens du terme, comme un clin d’œil solognot venu de Ferney et de Voltaire.
Oui, « il faut cultiver notre jardin » dit Candide à Pangloss. L’inverse absolu de l’égoïsme, de l’oisiveté et de l’hédonisme épicurien.
C’est un appel au travail, à la rigueur, à l’endurance, au courage. La philosophie de l’action audacieuse plutôt que des poncifs récités.
En cultivant ses propres talents, manuels comme spirituels, en bâtissant sur le roc enraciné, vos ailes se déploient à l’universel.
Heureux ceux qui sèment car ils récolteront.
En 1763, dans son traité sur la Tolérance, François-Marie Arouet, dit Voltaire, rappelait le sens de la vie : « je sème un grain qui pourra produire un jour une moisson ».
Voici, dans la nature, une leçon de la vie. Cultiver, c’est méditer et c’est agir. Deviens ta propre force, ne renie rien de tes racines et crois en toi. Comme la puissance éternelle de la volonté. Les fleurs tombent, les roses fanent, les feuilles sèchent. Tout meurt puis tout renaît. Après le morne hiver, l’époustouflant printemps.
Oui, décidément, heureux ceux qui sèment car ils récolteront.