Samedi soir, deux étudiants dijonnais ont été sauvagement agressés par une dizaine d’individus, place de la République, animés par une volonté assumée : « Ils ont commencé à nous insulter, à dire qu’ils voulaient s’en prendre à des petits blancs privilégiés. »
A ne pas nommer le mal, on s’en rend complice. Ici, il ne faut plus parler de jeunes mais de sauvages. Il ne faut plus parler d’agression mais d’acharnement. Il ne faut plus parler de fait divers mais de francocide.
En 20 ans, en Côte d’Or, le nombre de victimes de coups et de blessures volontaires, criminels ou correctionnels a plus que doublé, passant de 921 en 2001 à 1910 en 2021. Le 15 juin 2021, une expédition punitive menée par 150 Tchétchènes faisait notamment 20 blessés dans le quartier réputé de Grésilles, à Dijon, où les violences urbaines, règlements de compte et autres agressions deviennent presque la norme.
Si leurs intentions sont claires, les nôtres seront fortes : mettre un terme à cette insécurité, punir ceux qui la nourrissent, emprisonner les voyous et renvoyer les délinquants étrangers dans leurs pays.
Guillaume Peltier
Vice-président exécutif de Reconquête
Conseiller départemental de Chambord
Ancien député de Loir-et-Cher